Sain, performant, confortable et économique… En matière d’isolation − et plus généralement de matériaux pour l’habitat − les clients finaux sont de plus en plus exigeants.
Parce que concrètement, isoler son logement c’est bien. Mais profiter d’une isolation à la fois performante, durable et écologique c’est nettement mieux ! Pour la planète d’abord, mais pour soi aussi.
Pour cause, le temps passé en intérieur (habitation, bureau, transport, école…) représente la grande majorité du quotidien de chaque individu. Choisir des matériaux sains est de fait une question de santé, et cela ne nuira en rien à la performance finale. La preuve avec les isolants réflecteurs !
Avec la mise en application de la RE2020 au 1er janvier 2022, l’heure est venue pour le secteur du bâtiment (entre autres) de voir loin et de penser empreinte carbone, cycle de vie, matériaux vertueux, énergie propre, performances énergétiques et environnementales, économie circulaire…
Si cette nouvelle réglementation ne concerne pour le moment que le neuf, les rénovations aussi sont concernées. La raison ? Les particuliers ! Ils sont de plus en plus demandeurs de matériaux et de solutions constructives aussi durables qu’efficaces. Dans ce contexte de changement profond − voire de prise de conscience collective quant à l’importance de choisir des produits sains pour l’environnement et pour la santé − les isolants réflecteurs apparaissent comme une solution dans l’air du temps : performante, durable, respectueuse des réglementations les plus exigeantes, facile à poser et bien sûr saine pour la santé des occupants et des poseurs.
Oui à la performance, non à l’insécurité sanitaire
Les risques sanitaires sont ceux qui peuvent nuire à la santé de l’homme. En cause ? Les agents infectieux (virus, bacilles…), mais aussi les produits chimiques (amiante, pollution…). Dans le secteur du bâtiment, la santé tend à devenir une composante intrinsèque de la construction et de la rénovation. Il ne s’agit plus seulement d’un des éléments du projet.
C’est un fait reconnu, il existe aujourd’hui une véritable relation entre la qualité d’une construction et la santé de ses usagers ! L’enquête réalisée par Bâtiment Santé Plus en partenariat avec le Conseil National de l’Ordre des Architectes va d’ailleurs en ce sens. Elle précise même que la santé représente le nouvel enjeu de l’économie circulaire.
Selon cette enquête menée auprès de 320 acteurs du bâtiment, l’objectif est aujourd’hui de réduire la transmission des infections contagieuses par l’air. Autre nécessité, celle d’adapter les bâtiments aux nouveaux modes de travail.
Pour ce faire, quatre critères sont − selon les résultats de l’enquête − à prendre en compte pour améliorer la qualité de vie au sein d’un espace :
- La qualité de l’air intérieur
- L’orientation, la luminosité et l’ensoleillement
- Le confort thermique
- L’acoustique
Isolation : comment allier efficacité et respect de la santé ?
De manière générale, une isolation de qualité contribue significativement à la santé et au confort des personnes dans leur logement. Elle aide à prévenir les maladies et décès causés par le froid, réduit la pollution sonore, diminue la précarité énergétique.
De plus, grâce aux certifications et aux labels, il est aujourd’hui possible d’identifier les isolants non dangereux pour la santé de l’homme − c’est-à-dire sans impact sur la qualité de l’air intérieur.
BON À SAVOIR
Il existe une norme spécialement dédiée aux isolants réflecteurs
La norme NF EN 16012 est actuellement la seule norme reconnue par l’administration en charge de l’attribution des aides dédiées à la rénovation énergétique. Pour être éligibles aux différents dispositifs d’aide fiscale, les matériaux utilisés par les isolants réflecteurs doivent en pratique respecter deux exigences :
– Afficher une valeur de résistance thermique mesurée selon la norme NF EN 16012.
– Justifier cette valeur par un rapport d’essai délivré par un organisme accrédité pour réaliser des tests selon la norme NF EN 16012.
À noter : pour les systèmes d’isolation composés de plusieurs matériaux, l’Administration exige que chaque composant soit testé séparément selon la norme NF EN 16012. La résistance thermique du système doit ensuite être calculée selon la norme EN ISO 6946 en fonction de la destination du produit (toitures, murs, etc.).
ISO 2000 : des isolants réflecteurs normés et reconnus A+
ISO 2000 innove en permanence. Indispensable si l’on souhaite répondre aux attentes environnementales, économiques et sanitaires de vos clients finaux ! En pratique, chacune des solutions de cette entreprise française répond aux exigences actuelles tout en anticipant celles à venir. Ainsi, tous les isolants réflecteurs ISO 2000 ont été testés et certifiés par la norme NF EN 16012. De même, ISO 2000 est très attentive à l’impact de ses produits. Ils ne dégagent par conséquent aucune poussière ni fibre nocive/irritante.
Ils sont également classés A+ pour les émissions de Composés Organiques Volatils (COV) selon la norme ISO 16000. Et pour garantir une performance d’isolation optimale, tous les isolants réflecteurs ISO 2000 sont testés et certifiés selon la norme d’essai NF EN 16012+A1 − mentionnée plus haut.
Un parti-pris sain et total qui permet aussi aux isolants réflecteurs de ne pas représenter un poids toxique pour l’environnement durant tout leur cycle de vie.
Vous l’aurez compris : avec ISO 2000, vous pourrez affirmer en toute confiance à vos clients que leur maison est très bien isolée, et qu’aucun polluant ne viendra nuire à la qualité de leur air intérieur.
Pour prendre contact avec l’un de nos experts ISO 2000, il vous suffit de laisser vos coordonnées ici.
